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ILS EN PARLENT ... dans la presse

 

LA CRITIQUE DE PREMIERE

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    Sylvestre Picard

     

    L’adaptation du livre légendaire de Saint-Exupéry est une vraie réussite de cinéma. (...) Au coeur d’un film d’animation post-Pixar superbement maîtrisé (l’univers suburban carré et gris VS la maison tordue et multicolore de l’aviateur) se déploie l’histoire du bouquin réalisée en stop-motion et en papier. Une ambition double et une idée de cinéma sublime qui porte la marque du réalisateur Mark Osborne (rappelez-vous le stupéfiant prologue de "Kung-Fu Panda"). (...) la meilleure façon d’illustrer "Le Petit prince" est de montrer sa dialectique entre le lecteur et l’oeuvre, à quel point le livre de Saint-Exupéry -en faisant naître des images indestructibles dans un cerveau enfantin- est un vrai livre mythologique, un prisme qui permet à un enfant d’appréhender le réel à l’instar de L’Odyssée. Dialectique narrative d’accord, mais aussi et surtout dialectique de cinéma grâce au contraste entre l’animation 3D et papier qui fonctionne brillamment (et signalons au passage l’exceptionnelle qualité du doublage français, notamment Andrea Santamaria qui fait parler le héros). Le deuxième acte, provoqué par un événement qu’on ne révélera pas, fait basculer le film dans une histoire aventureuse et tout aussi émerveillée où l’héroïne va en quelque sorte mettre à l’épreuve sa vision de l’univers du "Petit prince". A proximité du drame final tout s’accélère et se précipite, et c'est là le gros défaut du film : il n'arrive pas à se décider à se terminer. Sans spoiler, il y a bien quatre fins différentes et un peu paradoxales qui n'arrivent pas à conclure sur le sujet le plus puissant du métrage, le deuil. Mais à l’arrivée, en termes de cinéma la promesse est plus que tenue : "Le Petit prince" grand écran a trouvé ici une sorte de forme définitive.

LE FILM

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HUMAN est un dyptique de récits et d’images de notre monde pour créer une immersion au plus profond de l’être humain.

 

À travers les témoignages remplis d’amour, de bonheur, mais aussi de haine et de violence, HUMAN nous confronte à l’Autre et nous renvoie à notre propre vie.  De la plus petite histoire du quotidien, jusqu’aux récits de vie les plus incroyables, ces rencontres poignantes et d’une sincérité rare, mettent en lumière ce que nous sommes, notre part la plus sombre mais aussi ce que nous avons de plus beau et de plus universel. La Terre, notre Terre, est sublimée au travers d’images aériennes inédites accompagnées de musique tel un opéra, qui témoignent de la beauté du monde et nous offrent des instants de respiration et d’introspection.

 

HUMAN est une œuvre engagée qui nous permet d’embrasser la condition humaine et de réfléchir au sens même de notre existence.

TOUTE L'ACTU SUR LE BLOG HUMAN

 

LES AUTRES AVIS DE LA PRESSE

  • La Voix du Nord

     

     

      Par Lucie Vidal

    Ambiance bon enfant pour ce deuxième volet qui se passe « dans le château d’Harry Potter ». Un dépaysement plutôt agréable, avec une touche d’exotisme britannique qui saura plaire à tout le monde.

    La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord

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    Le Parisien

     

     

      Par Hubert Lizé

    Pef a le chic pour mixer un humour potache au ras des pâquerettes, voire très pipi-caca, à des saillies plus subtiles dignes des Monty Python, tout en truffant ses dialogues de clins d'oeil - à Harry Potter par exemple - qui parlent à tous et de références comiques qui font tilt chez les jeunes.

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    Femme Actuelle

     

     

      Par Cathy Bernheim

    Nouveau chapitre à ajouter à l'histoire de la guerre de Cent ans, version éducation sans espoir. Mais avec des rires.

    La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle

     

CRITIQUE

Pourtant adoubée par James Cameron, une suite laide qui donne envie de voyager dans le temps pour empêcher sa réalisation.

 

«Vous allez adorer Terminator Genisys», proclame un certain James Cameron sur l’affiche du film. Sans son apparition en chair et en os dans des vidéos promotionnelles – encore qu’il s’agit peut-être d’une création numérique comme le Schwarzenegger rajeuni du film –, on aurait juré que Paramount avait fait appel à un homonyme en sortant de la douloureuse projection du film, dont l’unique bienfait reste de loin la climatisation du cinéma.

Une curiosité de plus dans la promotion improbable du film qui a dévoilé tout un pan surprenant de son intrigue dans les dernières bandes-annonces. Espérons que le réalisateur des deux premiers volets de cette saga de science-fiction initiée en 1984 a été grassement payé pour adouber cette bouse d’Alan Taylor (Thor 2, Game of Thrones) qui piétine son œuvre encore plus que George Lucas avait saboté la sienne dans la deuxième trilogie Star Wars.

 

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